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Calvitie : Facteurs, Progression et Solutions Thérapeutiques

La calvitie, également connue sous le nom d’alopécie, est un phénomène universel qui touche des individus de toutes origines depuis toujours. Cette perte de cheveux est un processus naturel qui affecte aussi bien les hommes que les femmes, avec une perte quotidienne normale de 50 à 100 cheveux. Le ratio habituel sur un cuir chevelu sain est de 10% de cheveux en phase de chute et 85% en phase de croissance. Lorsque ce ratio bascule et que le rythme de chute s’accélère, cela constitue le premier signe annonciateur d’une perte importante de cheveux.

Comprendre l’alopécie et la calvitie nécessite de connaître leurs manifestations, typologies et surtout leurs causes. La maîtrise de ces causes facilite la prise en charge du phénomène et permet d’envisager des solutions pour y faire face. Plusieurs options existent pour aider les personnes touchées, offrant des résultats variés. Qu’elles soient chirurgicales, médicamenteuses ou naturelles, ces solutions visent à limiter les effets de la calvitie, qui peuvent être dévastateurs pour certains individus.

En dermatologie, l’alopécie est définie comme une accélération de la chute des cheveux ou des poils. Le terme provient du grec ἀλωπεκία / alôpekía (« chute des cheveux »), dérivé de ἀλώπηξ / alốpêx (« renard »), en référence à la chute annuelle des poils d’hiver de cet animal au début du printemps. L’alopécie est généralement diagnostiquée lorsque la perte de cheveux dépasse 100 cheveux par jour sur une longue période.

Comprendre la calvitie

Pour bien saisir le phénomène de la calvitie, il est essentiel de commencer par sa définition, puis d’examiner ses manifestations, ses différentes formes et les facteurs qui peuvent en être à l’origine.

La définition

En dermatologie, la calvitie, également appelée alopécie, est définie comme une accélération de la chute des cheveux ou des poils. Le terme provient du grec ἀλωπεκία / alôpekía (« chute des cheveux »), dérivé de ἀλώπηξ / alốpêx (« renard »), faisant référence à la chute annuelle des poils d’hiver de cet animal au début du printemps. L’alopécie est généralement diagnostiquée lorsque la perte de cheveux dépasse 100 cheveux par jour sur une longue période.

La calvitie, dernière étape de l’alopécie androgénétique, est une perte de cheveux totale ou partielle qui affecte principalement les hommes, mais également les femmes, bien que dans une moindre mesure. Le lien étroit entre la calvitie et les hormones masculines explique la plus grande proportion d’hommes touchés. En effet, jusqu’à deux-tiers des hommes de plus de 50 ans peuvent être concernés, tandis que seulement environ 2% des femmes sont affectées.

Il est important de souligner que la calvitie ne touche pas uniquement les personnes d’âge mûr, elle peut également se manifester chez des individus plus jeunes, dès l’adolescence, on parle alors de calvitie précoce.

Les causes de la calvitie

L’alopécie, ou perte de cheveux, peut être causée par de nombreux facteurs. Parmi les causes les plus courantes figurent l’hérédité, les déséquilibres hormonaux, le stress et la fatigue. D’autres facteurs tels que les infections du cuir chevelu, certaines maladies auto-immunes et certains traitements médicamenteux, comme la chimiothérapie, peuvent également affecter la croissance des cheveux. En outre, les carences nutritionnelles et minérales peuvent également avoir un impact sur la santé des cheveux, qui reflète souvent la santé générale du corps humain.

Les causes génétiques et hormonales : L’alopécie androgénétique

L’hérédité demeure la cause principale de la calvitie chez les hommes, résultant de la combinaison de deux facteurs : une prédisposition génétique et l’action des androgènes, des hormones sexuelles masculines également présentes en faible quantité chez les femmes.

Certains gènes prédisposant à l’alopécie androgénétique ont été identifiés, dont l’un est porté par le chromosome X et transmis aux hommes par leur mère. Par conséquent, la probabilité de souffrir de calvitie est plus élevée chez les hommes lorsque celle-ci est présente dans la famille maternelle. Finalement, si votre grand-père maternel est chauves, il est probable que vous ayez hérité de sa tendance génétique à la perte de cheveux.

Les premiers signes cliniques apparaissent entre 25 et 35 ans, se manifeste lorsque les follicules pileux du dessus du crâne deviennent particulièrement sensibles à l’action des androgènes, notamment la dihydrotestostérone (DHT), une substance dérivée de la testostérone. Cette hormone accélère et raccourcit le cycle de pousse du cheveu, entraînant des cheveux plus fins, moins foncés et une chute plus rapide. Les 20 à 25 cycles de pousse prévus pour durer toute la vie s’épuisent en quelques années seulement. Les follicules pileux situés sur les côtés du crâne sont moins affectés par l’action de l’hormone et leur cycle de pousse demeure moins perturbé.

Bien que l’impact des androgènes soit moins bien compris chez les femmes, la transmission héréditaire est également l’une des principales causes de calvitie féminine. Ceci est particulièrement vrai après 50 ans, lorsque les follicules deviennent plus sensibles à l’action combinée de la testostérone et d’une enzyme nommée 5a-réductase. L’interaction de ces deux éléments produit de la DHT, perturbant et accélérant le cycle de croissance des follicules, provoquant des cheveux de plus en plus fins jusqu’à leur disparition totale. L’alopécie androgénétique touche plus de 70% des hommes et 57% des femmes de plus de 80 ans, avec une prévalence moindre chez les personnes d’ascendance asiatique ou africaine que chez les blancs.

L’hygiène de vie et les autres causes

La perte de cheveux est progressive dans la plupart des cas. Lorsqu’elle est rapide et précipitée, elle est bien souvent le résultat d’une hygiène de vie inadaptée. Les causes peuvent alors en être :

  • Le stress ;
  • Une alimentation non équilibrée ;
  • Certains médicaments ;
  • Certaines maladies ;
  • L’asthénie.

Ces causes sont valables pour les hommes autant que pour les femmes. Chez les femmes en particulier, un arrêt de la prise de pilules contraceptives, une augmentation du taux d’hormones androgènes ou encore une périménopause peuvent être des causes de calvitie.

Les manifestations

Si la perte de cheveux est normale et naturelle, la perte de plus de 100 cheveux par jour est un premier signe de calvitie. Les premières manifestations s’observent le plus généralement à partir de la quarantaine chez la plupart des hommes.

Les réalités sont cependant suffisamment disparates pour mériter d’être précisées ici :

  • 15% des hommes commencent à perdre leurs cheveux dès 20 ans ;
  • 30% commencent à en perdre dès 30 ans ;
  • 50% perdent leurs cheveux à 50 ans.

La chute de cheveux commence généralement au niveau des golfes temporaux et du crâne. Le phénomène évolue ensuite progressivement et s’étend au toupet, à la tonsure puis au front, mais laisse presque systématiquement intacte l’arrière de la tête qui reste garni.

Chez les femmes, la chute de cheveux aboutit dans très peu de cas à une calvitie. Le dégarnissent s’observe principalement sur la zone de la raie des cheveux qui se dégage progressivement.

Les différents types de calvitie

Les chutes de cheveux peuvent prendre diverses formes. On peut ainsi observer :

  • L’effluvium ou alopécie diffuse caractérisée par la perte de cheveux sur l’ensemble du crâne ;
  • La chute de cheveux saisonnière due à la grossesse, à la fatigue, à une maladie ou à un changement de saison ;
  • L’alopécie de traction due à l’adoption de coiffures qui impliquent une tension sur les cheveux ;
  • La calvitie qui se caractérise par sa nature naissante, précoce ou héréditaire.

Une classification plus précise de la calvitie a été élaborée par le Dr. Hamilton au cours des années 1950. L’échelle Norwood-Hamilton, mise en place à cet effet, permet d’identifier 7 stades d’évolution de la calvitie :

  • Le stade 1 est caractérisé par les premiers signes d’un recul de la ligne des cheveux au niveau du front et des golfes temporaux ;

  • Le stade 2 se manifeste par une accentuation des premiers signes et le début de la perte de cheveux sur le sommet du crâne ;

  • Le stade 3 se caractérise par un éclaircissement accru des tempes et du front, ainsi qu’une zone sans cheveux apparente sur le sommet du crâne ;

  • Au stade 4 : la perte de cheveux est évidente sur le sommet du crâne et la zone dégarnie s’étend ;

  • Au stade 5, les zones dégarnies s’élargissent et finissent par se rejoindre ;

  • Le stade 6 représente une progression plus marquée du stade précédent ;

  • Le stade 7 correspond à une calvitie presque totale et à l’apparition d’un fin duvet sur le crâne.

Dans la grande majorité des cas, la zone occipital n’est pas touchée, et le phénomène de calvitie préserve les cheveux à l’arrière de la tête de l’individu.

Des effets variables selon les personnes

La calvitie a des effets observables sur l’apparence physique de la personne affectée. Mais elle en a également sur le plan psychologique. L’impact de ses effets varie en fonction des personnes.

Sur le plan physique

L’alopécie donne lieu à des changements manifestes sur le visage et est généralement associée au vieillissement, à l’opposé de la chevelure fournie qui est signe de fraîcheur et de bonne santé.

À une personne encore jeune, la perte de cheveux donne un aspect vieilli. Il existe cependant diverses manières de s’affranchir de tout complexe et de valoriser son aspect physique malgré un dégarnissement.

Chez l’homme comme chez la femme, la perte de cheveux est naturelle et constitue une différence qui peut tout à fait être arborée comme un élément de charme. Le crâne rasé est d’ailleurs un style tout à fait assumé pour de nombreux hommes et femmes.

Sur le plan psychologique

Au plan psychologique, de nombreuses personnes ont de la peine à assumer leur calvitie et l’assimilent à une apparence disgracieuse. C’est principalement le cas chez les femmes qui voient dans la chevelure un élément indispensable de la féminité et de la séduction.

Les réalités sociales et sociologiques auxquelles chacun se soumet sont déterminantes dans la perception que l’on peut avoir des effets d’une alopécie. Le plus simple est donc d’apprendre à vivre avec ce phénomène ou de se mettre en quête d’une solution.

Si le choix fait est celui d’y remédier, il est important de s’y prendre tôt, avant qu’une majorité de follicules aient perdu toute aptitude à produire des cheveux.

Mais il est essentiel de comprendre le caractère normal et naturel du phénomène afin de ne pas y ajouter une dépression ou un stress qui n’aurait pour effet que de l’aggraver et de dégrader la qualité de vie.

Lutter contre la calvitie : Les solutions envisageables

Les vitamines B5, B6 et PP ainsi que les acides aminés soufrés sont nécessaires à la pousse des cheveux. Une alimentation riche en ces éléments est donc une solution envisageable à la perte de cheveux. Il existe diverses autres solutions qui sont présentées ci-après.

Les perruques

Les perruques et moumoutes sont des solutions simples pour camoufler une calvitie. La diversité de styles que permettent ces accessoires ouvre un univers tout nouveau aux personnes qui y recourent. Celles-ci peuvent ainsi varier leur apparence au fil du temps, en fonction des accessoires choisis.

Cette solution ne satisfait cependant pas tout le monde et diverses autres solutions sont envisageables.

Les traitements médicamenteux

Il existe à ce jour deux médicaments qui ont prouvé leur efficacité contre l’alopécie. Ils peuvent être prescrits par un dermatologue et présentent des caractéristiques spécifiques.

Le Minoxidil

Ce traitement médicamenteux est disponible sous la forme de lotion. Il s’applique à la base du cuir chevelu, matin et soir, sur les zones affectées par la chute de cheveux.

Les résultats s’observent après au moins trois mois de traitement et varient en fonction des individus. Tandis que certaines personnes n’enregistrent aucun changement, d’autres voient les chutes de cheveux se stabiliser et d’autres encore assistent à la repousse de leurs cheveux.

Le traitement provoque des effets secondaires identifiés qui se résument à des cheveux gras, des rougeurs, des pellicules, des démangeaisons du cuir chevelu et des irritations. Il faut par ailleurs veiller à ne pas l’appliquer ailleurs que sur le cuir chevelu car il favorise l’apparition de pilosité.

Lorsqu’il est arrêté, le traitement laisse se poursuivre la perte de cheveux ; il doit donc être maintenu à vie.

Le Finastéride

Cette solution réservée aux hommes consiste en une pilule à ingérer par voie orale et dont les effets s’observent au bout de trois à six mois. Là encore, les résultats varient en fonction des personnes.

Si ce traitement ne présente aucune interaction avec d’autres médicaments ou aliments, il est toutefois connu pour causer des troubles des fonctions sexuelles et de la dépression. Il exacerbe par ailleurs le risque de cancer du sein.

Le principe actif employé ici affecte la testostérone qui est une hormone masculine. Cette solution est donc inopérante chez les femmes. Elle est en outre contre-indiquée pour les hommes jeunes.

Les traitements médicamenteux en cours de développement

La recherche médicale sur la prise en charge médicamenteuse de la calvitie se poursuit et de nouvelles molécules pourraient bientôt voir le jour à cet effet. Ces recherches portent sur le bimatoprost, connu pour favoriser la repousse des cheveux, et sur le lanatoprost.

Outre ces composés de la famille des prostaglandines, les facteurs de croissance sont aussi à l’étude et pourraient permettre de disposer d’alternatives diversifiées.

Il est impossible de faire repousser les cheveux lorsque le phénomène de chute est très avancé : peu importe le traitement médicamenteux envisagé, il est donc nécessaire de s’y prendre tôt.

Le traitement chirurgical : La greffe capillaire

La greffe de cheveux est une procédure chirurgicale pour traiter la calvitie qui se pratique suivant diverses techniques. Certaines d’entre elles sont historiques et d’autres sont plus récentes, voire tout à fait modernes. Leurs résultats, définitifs, peuvent mettre jusqu’à 12 mois pour présenter leur aspect final.

Une intervention chirurgicale

La greffe de cheveux est une procédure chirurgicale à part entière. Elle suppose donc :

  • Des contre-indications ;
  • Des examens préopératoires ;
  • Des consultations ;
  • Une anesthésie ;
  • Des suites opératoires.

Si elle peut être envisagée à tout âge chez la femme, il est recommandé aux hommes d’attendre 30 à 40 ans pour s’y soumettre. La raison en est que c’est dans cette tranche d’âge que l’activité hormonale et les chutes de cheveux commencent à se stabiliser chez les hommes.

La greffe de cheveux relève de la chirurgie esthétique et se pratique largement dans le cadre du tourisme médical.

La greffe Follicular Unit Extraction (FUE)

La technique FUE a été pratiquée pour la première fois par le docteur Ray Woods. Pour sa mise en œuvre, le praticien sélectionne puis extrait chaque follicule pileux individuellement à partir de la zone donneuse du patient.

Ces follicules sont conservés dans une solution physiologique et des incisions sont pratiquées sur la zone receveuse. Les follicules y sont ensuite implantés. L’intervention est plus longue que la technique FUT, mais elle est moins invasive et ne laisse quasiment pas de cicatrice.

Des méthodes de greffe plus modernes

Les méthodes de greffe ont fait l’objet de diverses améliorations pour gagner en efficacité. La greffe FUE se pratique ainsi avec des lames de saphir ou par ajout de PRP pour des résultats optimaux.

De nouvelles méthodes ont également été développées. C’est le cas de la technique Direct Hair Implantation (DHI) et de l’Implantation Folliculaire Automatisée (IFA).

Les traitements naturels

Sans recourir à des médicaments ni à une procédure chirurgicale, il existe des méthodes naturelles qui sont employées dans la lutte contre la calvitie. Elles mettent en œuvre de l’ail, du citron, de l’oignon, du lait de coco, des carottes, du vinaigre de pomme ou encore de l’Aloe Vera.

Toutes les recettes à ce sujet supposent une application des mélanges sur le cuir chevelu, quelques fois un massage du cuir chevelu, puis un rinçage après un certain temps. Il n’existe toutefois pas de donnée scientifique quant à l’efficacité de ces solutions.

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